Après une belle carrière dans le VTT Trial, Simon s’est tourné vers le métier de guide-moniteur et le show. Une manière pour lui de transmettre sa passion pour le VTT, une pratique tout terrain plébiscitée dans nos montagnes.
Parle-nous du VTT trial, que tu as pratiqué à haut niveau...
C’est franchir des obstacles en VTT sans poser le pied au sol. Ce n’est pas du freestyle, on ne cherche pas à faire des figures… même si j’en intègre dans mes shows ! C’est ce qu’on appelle le Street Trial, un mélange entre trial et freestyle, popularisé notamment par les vidéos de Danny MacAskill.
C’est franchir des obstacles en VTT sans poser le pied au sol. Ce n’est pas du freestyle, on ne cherche pas à faire des figures… même si j’en intègre dans mes shows ! C’est ce qu’on appelle le Street Trial, un mélange entre trial et freestyle, popularisé notamment par les vidéos de Danny MacAskill.
Tu fais donc des démonstrations ?
Après avoir arrêté la compétition, je me suis tourné vers les shows. Le VTT Trial est peu connu et peu médiatisé. Les shows me permettent d’aller vers le public, en France et en Europe, de faire découvrir ce sport, et pourquoi pas, de donner envie à certains de s’y mettre !
Après avoir arrêté la compétition, je me suis tourné vers les shows. Le VTT Trial est peu connu et peu médiatisé. Les shows me permettent d’aller vers le public, en France et en Europe, de faire découvrir ce sport, et pourquoi pas, de donner envie à certains de s’y mettre !
Tu es aussi moniteur et guide VTT...
Exactement. J’encadre techniquement les pratiquants et je les guide aussi sur des itinéraires adaptés. Je suis aussi formateur et jury pour le diplôme de moniteur vélo. C’est un titre qui manque de reconnaissance, c’est pourquoi je m’investis au sein du syndicat national des Moniteurs Cyclistes Français (MCF), pour faire reconnaître notre statut professionnel.
Exactement. J’encadre techniquement les pratiquants et je les guide aussi sur des itinéraires adaptés. Je suis aussi formateur et jury pour le diplôme de moniteur vélo. C’est un titre qui manque de reconnaissance, c’est pourquoi je m’investis au sein du syndicat national des Moniteurs Cyclistes Français (MCF), pour faire reconnaître notre statut professionnel.
Pour les vététistes, pourquoi faire appel à un moniteur ?
En France, on a le réflexe de prendre un moniteur pour le ski, pas pour le vélo. Pourtant, il y a des bases à maîtriser, surtout en montagne où la pratique est plus exigeante. Un moniteur peut accompagner aussi bien les débutants en VTT électrique, sur un itinéraire facile, que les cyclistes aguerris en quête de sensations fortes.
En France, on a le réflexe de prendre un moniteur pour le ski, pas pour le vélo. Pourtant, il y a des bases à maîtriser, surtout en montagne où la pratique est plus exigeante. Un moniteur peut accompagner aussi bien les débutants en VTT électrique, sur un itinéraire facile, que les cyclistes aguerris en quête de sensations fortes.
Des conseils avant de partir rouler ?
Il faut bien évaluer son niveau technique et physique pour choisir un itinéraire adapté. C’est là qu’un moniteur peut vraiment aider. Et côté matériel, on part avec un vélo en bon état, de quoi réparer une crevaison ou une chaîne, assez d’eau, à manger, et des vêtements adaptés à la météo montagnarde, souvent changeante !
Il faut bien évaluer son niveau technique et physique pour choisir un itinéraire adapté. C’est là qu’un moniteur peut vraiment aider. Et côté matériel, on part avec un vélo en bon état, de quoi réparer une crevaison ou une chaîne, assez d’eau, à manger, et des vêtements adaptés à la météo montagnarde, souvent changeante !