Vivez heureux aujourd’hui, demain il sera trop tard... Telle est la devise du Branzin qui a rouvert ses portes l’hiver dernier sous l’impulsion de Clément Bailly, cuisinier passionné qui a fait ses preuves aux côtés du chef étoilé Jérôme Roy. Son ambition ? Offrir une cuisine sincère, généreuse et accessible, où l’on sent l’amour du produit à chaque bouchée.

Fils d’agriculteur, Clément accorde une attention particulière à la qualité des produits. Ici, les circuits courts sont la règle. Légumes du coin, viande d’Auvergne, poisson frais selon arrivage, charcuterie du Villard… tout est local, frais et fait maison. La carte fait la part belle aux classiques, revisités sans prétention : cuisses de grenouilles comme les faisait sa grand-mère, turbot de Méditerranée, tartiflette, burgers avec pain de la boulangerie Au Caprice… Une cuisine qui sent le terroir, mais qui sait rester vivante, avec une carte renouvelée régulièrement.

Le Branzin n’est pas qu’un restaurant. C’est aussi un bar à cocktails et à tapas où l’on vient prolonger la soirée dans une ambiance décontractée. Le cocktail-signature du jour : La Burlesque et ses notes rafraîchissantes de Chamberyzette. L’établissement a aussi sa propre bière, La Branzine, brassée avec Les Mousses du Dahu, une IPA légère et fruitée.

Côté tapas, on retrouve les classiques — guacamole, tapenade, patatas bravas — mais aussi des propositions plus audacieuses : os à moelle, entrecôte de 300g slicée, une des meilleures que l’on ait goûtées ! Le tout servi dès 18h30, en musique le vendredi soir avec concerts live et ambiance festive jusqu’à 1h du matin.

Pour les occasions plus intimes, Le Branzin propose une table privatisable en sous-sol, dans une ambiance feutrée avec service personnalisé. Un petit coin exclusif, à réserver pour des moments uniques.