Premier Marie-Galantais à participer aux Jeux olympiques d’hiver, Jérôme Laporal réalise son rêve d’enfant cette saison. Pousseur en bob à 4, il a bien à cœur de se plier en 4 pour pousser haut les couleurs de la France à Pékin.
Que représentent les JO pour toi ?
Depuis tout petit, ça a toujours été un rêve, je n’en ratais jamais une miette ! Originaire d’une petite île de 10 000 habitants, c’est une grande fierté de la représenter et d’être le premier à participer aux Jeux. Je suis vraiment impatient d’y être, de voir l’ambiance et de défendre les couleurs de la France.
Comment es-tu arrivé au bob ?
Par l’athlétisme que je pratiquais avant et où j’ai fait de belles performances. En 2017, j’ai été contacté par Max Robert (médaillé de bronze aux Jeux olympiques de Nagano en 1998) qui cherchait de nouveaux profils puissants, rapides et explosifs pour l’équipe de France de bob. J’ai fait les tests et voilà…
Raconte-nous ta première descente…
Alors franchement, wouahhhh ! C’était à Altenberg, une des pistes les plus dures. J’avais l’impression d’être dans une machine à laver ! Après la première descente, on me dit : « Allez, il y a le deuxième run ! ». Je suis quelqu’un qui adore la vitesse, mais là, je ne m’attendais vraiment pas à ça ! C’était un bon bizutage !
Aujourd’hui, qu’est-ce qui te plaît tant dans cette discipline ?
C’est le travail d’équipe, le dépassement de soi. Chaque détail compte dans ce sport, il faut se battre pour soi mais aussi pour ses coéquipiers, se faire confiance, se challenger. Ce sont de belles valeurs.
Un mot sur la piste de bob de La Plagne…
C’est une piste assez longue, qui tape pas mal, avec beaucoup de pression dans les virages. Une belle piste !
Quels sont tes objectifs pour la saison ? Et après ?
J’aimerais bien continuer. Je n’ai que 28 ans, mon corps peut aller encore loin. Pourquoi pas une deuxième participation aux prochains Jeux de 2026 ! J’ai aussi des projets avec des jeunes toujours dans le bob.
L’interview décalée
Ta devise ?
•Croire en ses rêves et se donner les moyens de les réaliser.
Qu’emporterais-tu sur une île déserte ?
•Une photo de ma famille.
Si tu pouvais retourner dans le passé, que changerais-tu ?
•Être plus gentil avec ma mère, j’étais tellement super actif !
L’artiste que tu écoutes en ce moment ?
•Bled Miki, un artiste de mon île, qui chante en créole, parle de ses racines.
Le livre qu’il faut avoir lu ?
•« Le Mental des champions » d’Hubert Ripoll.
Ton film préféré ?
•Fast and Furious.
Un super-héros ?
•Flash.
Le sport que tu n’aurais jamais pu pratiquer ?
•Le skeleton. La tête en avant, c’est mort pour moi !
Ton plat préféré ?
•La pieuvre avec du riz en sauce préparé par ma maman.
Depuis tout petit, ça a toujours été un rêve, je n’en ratais jamais une miette ! Originaire d’une petite île de 10 000 habitants, c’est une grande fierté de la représenter et d’être le premier à participer aux Jeux. Je suis vraiment impatient d’y être, de voir l’ambiance et de défendre les couleurs de la France.
Comment es-tu arrivé au bob ?
Par l’athlétisme que je pratiquais avant et où j’ai fait de belles performances. En 2017, j’ai été contacté par Max Robert (médaillé de bronze aux Jeux olympiques de Nagano en 1998) qui cherchait de nouveaux profils puissants, rapides et explosifs pour l’équipe de France de bob. J’ai fait les tests et voilà…
Raconte-nous ta première descente…
Alors franchement, wouahhhh ! C’était à Altenberg, une des pistes les plus dures. J’avais l’impression d’être dans une machine à laver ! Après la première descente, on me dit : « Allez, il y a le deuxième run ! ». Je suis quelqu’un qui adore la vitesse, mais là, je ne m’attendais vraiment pas à ça ! C’était un bon bizutage !
Aujourd’hui, qu’est-ce qui te plaît tant dans cette discipline ?
C’est le travail d’équipe, le dépassement de soi. Chaque détail compte dans ce sport, il faut se battre pour soi mais aussi pour ses coéquipiers, se faire confiance, se challenger. Ce sont de belles valeurs.
Un mot sur la piste de bob de La Plagne…
C’est une piste assez longue, qui tape pas mal, avec beaucoup de pression dans les virages. Une belle piste !
Quels sont tes objectifs pour la saison ? Et après ?
J’aimerais bien continuer. Je n’ai que 28 ans, mon corps peut aller encore loin. Pourquoi pas une deuxième participation aux prochains Jeux de 2026 ! J’ai aussi des projets avec des jeunes toujours dans le bob.
L’interview décalée
Ta devise ?
•Croire en ses rêves et se donner les moyens de les réaliser.
Qu’emporterais-tu sur une île déserte ?
•Une photo de ma famille.
Si tu pouvais retourner dans le passé, que changerais-tu ?
•Être plus gentil avec ma mère, j’étais tellement super actif !
L’artiste que tu écoutes en ce moment ?
•Bled Miki, un artiste de mon île, qui chante en créole, parle de ses racines.
Le livre qu’il faut avoir lu ?
•« Le Mental des champions » d’Hubert Ripoll.
Ton film préféré ?
•Fast and Furious.
Un super-héros ?
•Flash.
Le sport que tu n’aurais jamais pu pratiquer ?
•Le skeleton. La tête en avant, c’est mort pour moi !
Ton plat préféré ?
•La pieuvre avec du riz en sauce préparé par ma maman.