Montalbert

Franck Pommier, un échange RUCHE en émotions

  • Franck Pommier-apiculteur-LONGEFOY MONTALBERT-‚t‚2024-¸infosnews-1.jpg
  • Franck Pommier-apiculteur-LONGEFOY MONTALBERT-‚t‚2024-¸infosnews-8.jpg
  • Franck Pommier-apiculteur-LONGEFOY MONTALBERT-‚t‚2024-¸infosnews-12.jpg
  • Franck Pommier-apiculteur-LONGEFOY MONTALBERT-‚t‚2024-¸infosnews-23.jpg
  • Franck Pommier-apiculteur-LONGEFOY MONTALBERT-‚t‚2024-¸infosnews-25.jpg
  • Franck Pommier-apiculteur-LONGEFOY MONTALBERT-‚t‚2024-¸infosnews-29.jpg
  • Franck Pommier-apiculteur-LONGEFOY MONTALBERT-‚t‚2024-¸infosnews-33.jpg
  • Franck Pommier-apiculteur-LONGEFOY MONTALBERT-‚t‚2024-¸infosnews-37.jpg
  • Franck Pommier-apiculteur-LONGEFOY MONTALBERT-‚t‚2024-¸infosnews-46.jpg
© Infosnews
Publi-rédactionnel
24 Jul 2024PS175
Les Ruches de Roger
À Longefoy
+33 (0)6 32 14 90 24
instagram : ruches_de_roger
Il était une fois une aventure de transmission, d’amour du territoire et de passion. Les Ruches de Roger ont vu le jour en 2020 à Longefoy, nées de l’esprit du père Roger Pommier et de son fils Franck. Une belle leçon de vie qui prône le retour à l’essentiel.

Comment est né ce projet ?
Même si j’ai vécu longtemps à Paris, j’étais très attaché à mes racines ici. Mes grands-parents maternels étaient du village et nous passions toutes nos vacances à Longefoy dans la maison familiale. En 2020, en rendant visite à un ami de Nice qui avait des ruches, j’ai eu le coup de cœur. En revenant au village, j’en ai parlé à mon père, et avec la participation financière de ma sœur et de mon frère, on s’est lancé en achetant trois ruches. On a vite grossi, et j’en ai aujourd’hui une quinzaine. Notre projet personnel est devenu presque professionnel : on livre notamment l’épicerie voisine L’Autrefoy.
 
Pourquoi les Ruches de Roger ?
C’est en hommage à mon père, décédé en 2020, qui s’est vraiment investi dans le projet, et qui disait toujours : « Moi vivant, les ruches seront toujours là » ! À la base, l’entreprise s’appelait le Rucher Pommier. Mon investissement est d’autant plus grand quand on pense que je suis allergique aux piqûres d’abeilles...
 
Comment expliquer cette nouvelle passion ?
J’ai passé plus de 10 ans à Paris en tant que directeur commercial pour une entreprise de gaz russe. Mon quotidien, c’était les tableaux Excel et des rapports humains faussés. Lorsque mon père est parti, j’ai encore plus ressenti le besoin de me rapprocher de mes racines et de pratiquer une activité qui symbolisait le retour à l’essentiel. Ça rend humble de voir ces petites bêtes travailler et d’apporter sa pierre à l’édifice.
 
Qu’est-ce que ça t'apporte de pratiquer l’activité ici ?
Pour moi, c’est un retour aux racines paysannes qui montre que c’est nous qui dépendons de la nature et pas l’inverse. Il faut respecter son cycle et prendre le temps de vivre, contrairement à ce que j’ai cru durant mes années parisiennes.

Franck Pommier, beekeeper

Franck's grandparents lived in Longefoy where he spent all his holidays. In 2020, while visiting a friend in Nice who had beehives, he fell in love with the idea. He spoke to his father about the beehives, and with the help of his sister and brother, Franck and his father set about buying 3 hives. They quickly grew and Franck now has around fifteen hives. His personal project has become a professional one, and he now delivers to the L'Autrefoy grocery shop.