Du 29 juillet au 14 août, le Festival Baroque de Tarentaise revient pour une 34e édition sous le signe du miroir. 14 concerts feront résonner les murs des plus belles églises du territoire, à la croisée des époques et des styles.
Le baroque ? C’est cette époque musicale des XVIIe et XVIIIe siècles, foisonnante, contrastée, inventive. Une esthétique où la lumière côtoie l’ombre, où l’émotion se fait théâtre. Chaque été, depuis plus de 30 ans, le Festival Baroque de Tarentaise en fait son fil rouge, dans un cadre patrimonial exceptionnel : les églises baroques savoyardes.
Miroir, miroir...
Avec pour thème 2025 « Miroirs », le festival s’amuse à faire dialoguer les siècles et les styles. D’un côté, Vivaldi, Bach ou Gesualdo. De l’autre, l’électro, les musiques andines, les compositions contemporaines. « Chaque année, un mot-clé structure notre programmation. Cette fois, le miroir s’est imposé comme une évidence : à la fois objet baroque par excellence et symbole du reflet », explique Jean-Luc Hyvoz, directeur artistique du festival.
Miroir, miroir...
Avec pour thème 2025 « Miroirs », le festival s’amuse à faire dialoguer les siècles et les styles. D’un côté, Vivaldi, Bach ou Gesualdo. De l’autre, l’électro, les musiques andines, les compositions contemporaines. « Chaque année, un mot-clé structure notre programmation. Cette fois, le miroir s’est imposé comme une évidence : à la fois objet baroque par excellence et symbole du reflet », explique Jean-Luc Hyvoz, directeur artistique du festival.
La tournée des églises
Itinérant, le festival se déploie de village en village, révélant l’écrin sonore de ces lieux où bois et pierre subliment la voix et les instruments anciens. Dès l’ouverture (le 30/7), l’ensemble Amarillis met en lumière une compositrice oubliée, Élisabeth Jacquet de La Guerre, à Conflans (Albertville). Le lendemain, place à une soirée d’exception mêlant flûte baroque et gastronomie chez René & Maxime Meilleur à Saint-Martin-de-Belleville (le 31/7). À Moûtiers, la cathédrale accueillera deux moments forts : les motets de Schein avec l’ensemble suisse Voces Suaves (le 07/8) et l’oratorio d’Alessandro Scarlatti (le 14/8). Entre-temps, un électro-baroque audacieux signé Compagnie Rassegna prendra place à l'auditorium de La Léchère (le 08/8).
Tous au baroque
Itinérant, le festival se déploie de village en village, révélant l’écrin sonore de ces lieux où bois et pierre subliment la voix et les instruments anciens. Dès l’ouverture (le 30/7), l’ensemble Amarillis met en lumière une compositrice oubliée, Élisabeth Jacquet de La Guerre, à Conflans (Albertville). Le lendemain, place à une soirée d’exception mêlant flûte baroque et gastronomie chez René & Maxime Meilleur à Saint-Martin-de-Belleville (le 31/7). À Moûtiers, la cathédrale accueillera deux moments forts : les motets de Schein avec l’ensemble suisse Voces Suaves (le 07/8) et l’oratorio d’Alessandro Scarlatti (le 14/8). Entre-temps, un électro-baroque audacieux signé Compagnie Rassegna prendra place à l'auditorium de La Léchère (le 08/8).
Tous au baroque
Mais le Festival Baroque de Tarentaise ne se contente pas d’honorer le répertoire. Il cherche aussi à élargir ses horizons : « Nous voulons toucher d’autres publics, notamment les jeunes, souligne Jean-Luc. C’est pourquoi l’entrée est gratuite pour les moins de 16 ans et que nous multiplions les ponts avec les musiques actuelles. Cela passe également par un important travail de médiation culturelle auprès des publics. »